C’est là qu’intervient la dextérité, la virtuosité du graveur qui sculpte en relief chacune des couleurs seulement là où elle doit être imprimée, laissant les surfaces en creux libres de pigments. La gravure doit restituer chaque motif, chaque petit détail, aussi subtils soient-ils ; chaque nuance demande la gravure d’une plaque.
Le graveur installe sa plaque de celluloïd sur son coussinet et entame la matière à l’aide de ses instruments spécifiques à la gravure sur bois, notamment deux vélos.
En cours d’élaboration, le compte-fils est un outil précieux, maintes fois utilisé, pour observer la finesse des traits gravés.
- Détail du personnage de droite
- Détail des personnages de gauche